Commetous les ans depuis que mon pĂšre (Maitre Jedi) m'a transmis la passion de la pĂȘche Ă la mouche, le jour de l'ouverture est un rendez-vous rituel. Bien sĂ»r, le choix de la riviĂšre se porte toujours loin des sentiers battus et oĂč je suis sĂ»r de trouver des poissons sauvages et non ces pauvres truites lachĂ©es la veille de l'ouverture afin de satisfaire quelques viandards avides de
Lesastuces de cuisine: Santé & Plaisir. Les astuces à Ptitchef on aime beaucoup! Et encore plus les astuces culinaires qui font rimer santé & plaisir! Découvrez dans ce dossier inédit toutes les petites choses à savoir qui changeront votre quotidien Comment réapprendre à manger, ou encore simplement comment mettre en place un
Lesfruits sont vĂ©reux dans mon verger ! (23/12/2008 20:11) Les fruits sont vĂ©reux dans mon verger ! J'ai eu cette annĂ©e des problĂšmes avec des fruits vĂ©reux, en particuliers les coings, pommes, poires, naschis ne se conservent pas, en raison de vers Ă l'intĂ©rieur du fruit qui est piquĂ© Ă l'extĂ©rieur. Les olives n'Ă©chappent pas Ă
1 Une des causes de la sensation de brĂ»lure Ă la gorge provient des infections virales comme le rhume et la grippe. Souvent, ces gĂȘnes sont causĂ©es par des infections virales courantes que ne nĂ©cessitent aucun type d'antibiotique, puisqu'elles disparaissent au bout de quelques jours. Lorsqu'un virus affecte les voies respiratoires, le
LeproblÚme principal de l'agriculture biologique en oléiculture est la mouche de l'olive. Seul les piÚges, à phéromones ou alimentaire, sont autorisés. Le problÚme est qu'ils ne sont, pour l'heure, pas trÚs efficaces. Néanmoins, au dessus de 400 mÚtres d'altitudes et en respectant quelques rÚgles simples, comme de ne pas laisser les olives piquées sur le sol, cet inconvénient est
Lamouche est un insecte de petite taille Ă ailes courtes. Son nom vernaculaire est ambigu en français.Le terme mouche (/muÊ/) dĂ©signe gĂ©nĂ©ralement en français les insectes de l'ordre des diptĂšres et en particulier les insectes du sous-ordre des brachycĂšres [1].Il provient du mot latin musca, qui dĂ©signe de nos jours principalement un genre comprenant la mouche domestique
. Situation de crise, annĂ©e catastrophique les olĂ©iculteurs provençaux attendent une chute vertigineuse de la rĂ©colte d'olives, et donc de la production d'huile, l'or vert». En cause, la mouche de l'olive, qui s'est abattue sur le bassin mĂ©diterranĂ©en. Pour 2014, les prĂ©visions faites au printemps atteignaient tonnes. Mais l'hiver doux et l'Ă©tĂ© pluvieux ont favorisĂ© l'Ă©closion de la Bactrocera oleae, la mouche de l'olive qui a fait des ravages dans les oliveraies. Les olives infestĂ©es tombent au sol, laissant les arbres dĂ©pouillĂ©s.Nous ne sommes mĂȘme pas sĂ»rs d'arriver Ă tonnes ... Peut-on imaginer, au XXIe siĂšcle perdre 80 Ă 90% d'une rĂ©colte nationale Ă cause d'une mouche bien connue depuis 50 ans?», s'est inquiĂ©tĂ©, dans une lettre aux olĂ©iculteurs, le prĂ©sident de l'Afidol Association française interprofessionnelle de l'olive, Olivier Nasles. Nous avons Ă faire Ă une situation de crise que nous n'avons plus connue depuis 1956», selon lui. 1956 reste une annĂ©e noire pour les olĂ©iculteurs. Le gel hivernal avait dĂ©truit la majeure partie des oliveraies provençales. Pour sauver la rĂ©colte 2014, les olives encore indemnes ou Ă peine piquĂ©es par la mouche ont Ă©tĂ© ramassĂ©es trĂšs tĂŽt dans la saison - dĂ©but octobre au lieu de novembre. Mais, n'Ă©tant pas alors Ă maturitĂ©, leur rendement est moindre. MĂȘme dans les oliveraies les moins touchĂ©es, la production d'huile est infĂ©rieure aux annĂ©es Nasles met en cause la rĂ©glementation actuelle qui n'autorise que deux traitements insecticides» alors qu'il en faudrait selon lui six Ă huit sur la pĂ©riode» suivant l'attaque de la mouche. - 'La mouche a Ă©branlĂ© la profession -PlutĂŽt que d'abuser de traitements curatifs, certains olĂ©iculteurs prĂ©fĂšrent se tourner vers un traitement prĂ©ventif, Ă l'argile blanche, efficace mais nĂ©cessitant un plus grand nombre de passages. Cela devient coĂ»teux», explique Arnaud TruphĂšme, olĂ©iculteur dans le Var qui a dĂ» traiter ses arbres huit fois au lieu de cinq habituellement. Mais grĂące Ă cette mĂ©thode, il n'a perdu que 30% de sa rĂ©colte contre 50% Ă 80% ailleurs. D'autres ont Ă©tĂ© moins chanceux. C'est la catastrophe», se lamente une responsable d'un moulin coopĂ©ratif Ă MouriĂšs Bouches-du-RhĂŽne MĂȘme ceux qui ont Ă©tĂ© traitĂ©s ont Ă©tĂ© touchĂ©s». Aux Baux-de Provence, oĂč l'huile d'olive d'appellation d'origine protĂ©gĂ©e AOP est particuliĂšrement rĂ©putĂ©e, Jean-BenoĂźt Hugues, propriĂ©taire du moulin Castelas fait le mĂȘme constat RĂ©colte catastrophique», passĂ©e de 150 tonnes d'olives en 2013 Ă 35 cette annĂ©e malgrĂ© neuf traitements Ă l'argile ricochet, la crise affecte l'activitĂ© des 250 moulins de la filiĂšre, privĂ©s ou coopĂ©ratifs, regroupant olĂ©iculteurs professionnels ou amateurs de la filiĂšre concentrĂ©s dans le sud de la espĂšrent que cette situation restera exceptionnelle et que la rĂ©colte sera normale» l'annĂ©e prochaine. Dans l'immĂ©diat, ils envisagent une perte de gain consĂ©quente car on ne peut pas beaucoup jouer sur les prix qui sont traditionnellement Ă©levĂ©s», selon le porte-parole de l'Afidol, Olivier Roux. Pour M. Hugues toutefois, la mouche a Ă©branlĂ© la profession». Il craint que les petits moulins ne disparaissent On a un accident, cet accident peut nous tuer». Pour cette annĂ©e on aura des importations» d'huile venue d'autres pays producteurs, Tunisie, Maroc, Italie et Espagne. Faut-il encore que le consommateur soit assurĂ© de son origine», souhaite-t-il. A partir du moment oĂč l'Ă©tiquetage est conforme, il n'y a pas de problĂšme», juge M. Roux. Mais cela pose un problĂšme pour l'image de la profession», estiment Katia et FrĂ©dĂ©ric Ratto. OlĂ©iculteurs Ă Cucuron Vaucluse, ils ont Ă peu prĂšs sauvĂ© leur propre rĂ©colte, traitĂ©e Ă l'argile. Mais leur moulin fermera cette annĂ©e avec un bon mois d'avance faute de clients. On va manquer de trĂ©sorerie», prĂ©voient-ils avec inquiĂ©tude.
La rĂ©colte des olives est cette annĂ©e victime dâune paupĂ©risation sans prĂ©cĂ©dent et la profession affirme que lâhuile dâolive sera rare et de qualitĂ© moindre. FrĂ©quemment nous ouvrons nos colonnes sur le contenu de la revue des olĂ©iculteurs de Haute-Provence qui donne des indications prĂ©cieuses sur la maniĂšre de traiter cet arbre emblĂ©matique de la Provence. Quant aux responsables de cette pĂ©nurie, les professionnels sont unanimes, il sâagit de cette fameuse mouche qui a pu prolifĂ©rer grĂące au rĂ©chauffement climatique. Pendant lâĂ©tĂ©, une gĂ©nĂ©ration de mouches se dĂ©veloppe et les femelles peuvent pondre 400 Ă 500 oeufs en quelques jours. Les dĂ©gĂąts sont Ă la fois dâordre quantitatif et qualitatif. Le dĂ©veloppement de la larve dans lâolive affecte directement lâalimentation du fruit et sa maturation provoquant leur chute accĂ©lĂ©rĂ©e de lâarbre. Les olives qui restent sont petites et piquĂ©es. Au plan qualitatif, les dĂ©gĂąts de mouches conduisent Ă une altĂ©ration de la qualitĂ© de lâhuile, dĂ©tectable au goĂ»t et par une augmentation du taux dâaciditĂ©. Les professionnels sâaccordent Ă penser que les facteurs dĂ©veloppant la mouche sont le climat. Hiver doux, printemps prĂ©coce, Ă©tĂ© sans grosse chaleur, automne doux permettent Ă la mouche de bien se dĂ©velopper. Si lâhumiditĂ© est Ă©levĂ©e, les conditions sont idĂ©ales annĂ©es 2006, 2007 et surtout 2011. Inversement aprĂšs un hiver trĂšs froid comme en fĂ©vrier 2012 ou, si lâĂ©tĂ© est caniculaire et trĂšs sec 2003, la population se dĂ©veloppe peu. Cette annĂ©e consigne a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă tous les olĂ©iculteurs de ramasser le plus tĂŽt possible pour sauver ce qui peut lâĂȘtre. Certains dâentre eux ont Ă©tĂ© contrĂŽlĂ©s par les services de l'Ătat pour vĂ©rifier si la main dâoeuvre travaillait dans des conditions rĂ©glementaires, ce qui a ajoutĂ© Ă la pĂ©nurie de la colĂšre en plus. Des mouliniers tĂ©moignent Pour Michel Henry du Moulin Paschetteta dâOraison et Peyruis Alpes-de-Haute-Provence, qui existe depuis 1922, câest une des pires annĂ©es. Le dĂ©partement recueille environ 15 000 tonnes dâolives et ce ne sera pas le cas cette annĂ©e. Nous tournions entre 200 et 300 tonnes Ă lâan. Le potentiel de la rĂ©colte Ă©tait important, mais cet Ă©tĂ©, il nây a pas eu de mistral, donc pas de dĂ©pression dans le golfe de GĂšnes. La mouche de lâolive est endĂ©mique sur une bande cĂŽtiĂšre de 5 km, de Menton Ă SĂšte. Du dĂ©but de lâĂ©tĂ© jusquâĂ maintenant, il y a eu des inversions maritimes air chaud, froid et humide qui ont permis aux mouches de prolifĂ©rer plus loin Ă lâintĂ©rieur des terres, dans le Var, Alpes-de-Haute-Provence et Vaucluse. Aujourdâhui, les mouches sont encore prĂ©sentes dans les oliveraies Ă cause des baisses de tempĂ©rature. » Câest frĂ©quent ? Dans les annales du moulin, nous ne lâavons jamais constatĂ© de cette ampleur. » Les consĂ©quences ? Cette annĂ©e nous attendons un tiers voire la moitiĂ© dâolives en moins, elles sont par terre et les autres sont piquĂ©es car la larve de lâinsecte a mangĂ© une partie du fruit. Le phĂ©nomĂšne peut ĂȘtre attĂ©nuĂ©s lorsque les gelĂ©es se dĂ©clenchent en dĂ©but novembre, dĂ©truisant la larve et dessĂ©chant la partie mangĂ©e en arrĂȘtant la putrĂ©faction de lâolive, le froid cautĂ©risant la plaie, mais ce ne sera pas le cas cette annĂ©e. » Quels chiffres attendent-ils ? Sans doute mĂȘme pas 500 tonnes dans le 04. Lâhuile peut ĂȘtre altĂ©rĂ©e dans sa fiabilitĂ©, et nous ne pourrons vendre dâhuile extra vierge. DĂ©ontologiquement, nous ne pouvons vendre une huile plus chĂšre de moindre qualitĂ©. » Que faudrait-il alors ? Un gros coup de froid, 15 jours Ă moins 10° en fĂ©vrier pour dĂ©truire la pupe de lâinsecte. Sinon, on va tomber dans une agriculture industrielle chimique qui Ă©loignerait encore plus lâhuile dâolive de lâartisanat. » Au moulin des PĂ©nitents des MĂ©es En moyenne ce moulin triture entre 170 et 180 tonnes dâolives par an, il en attend deux-tiers en moins cette annĂ©e. Au mur, un diplĂŽme de lâExcellence agricole 2013 au Concours gĂ©nĂ©ral agricole de Paris, puis une affichette Les olives gelĂ©es qui ont souffert du brunissement, fortement marquĂ©es ou abĂźmĂ©es, ou ayant souffert de la mouche seront refusĂ©es au prix convenu, mais acceptĂ©es Ă un tarif diffĂ©rent. » En fait, câest toute la filiĂšre olĂ©icole qui est touchĂ©e dans ses finances. JoĂ«l Aramand, prĂ©sident de la coopĂ©rative Personnellement, je travaille en bio et je ne veux pas de traitement chimique. On converti les gens au bio, en se posant la question dây rester. LâolĂ©iculture conventionnelle non-bio traite avec du dimĂ©thoate, un produit chimique, mais les petits producteurs nâont pas le droit de lâacheter et de traiter avec, câest une directive de Bruxelles. La coopĂ©rative regroupe 350 adhĂ©rents, dont la plupart sont amateurs, et petits producteurs. Ils ne peuvent acheter ce produit pour traiter, donc les olives nâoffrent plus leur qualitĂ© habituelle. » Et le traitement bio ? Câest du sineĂŻs, mais il faut traiter arbre par arbre, et en cas de pluie, il faut recommencer, parfois cinq ou six fois. Non seulement ce produit abrasif brĂ»le les membranes mais en plus il coĂ»te cher. » Comment se prĂ©sente lâannĂ©e ? Nous allons beaucoup perdre avec le risque de fermeture de moulins, faute de volume. Nous sommes au bord du dĂ©pĂŽt, car dĂ©jĂ en pĂ©riode normale nous manquons de volume, mais cette annĂ©e est catastrophique. Le risque est de faire venir des olives dâEspagne ou dâItalie quatre fois moins chĂšres, et la porte ouverte sur les magouilles et la sous-qualitĂ©. » Jean Banner
un jour, je lâaurai ⊠Depuis lâan dernier, une truite me prends la tĂȘte. Impossible de bien me placer pour lui proposer ma mouche comme il faut. PlaquĂ©e contre un amas de branches mortes Ă©chouĂ©es sur une bordure, en fin dâun trĂšs grand lisse, elle coule des jours heureux, depuis plusieurs mois donc. Au dessus de son spot des branches. Seule possibilitĂ© de lâattaquer par travers en passant dans un espace dâ1m entre deux branches pendantes. Seulement lâapprocher par travers, ce nâest possible que par Ă©tiage. Et aujourdâhui, câest possible ⊠Partie de pĂȘche sur la Nive â 28 mars 2010 Pays Basque â Grande Nive â Entre Louhossoa et Bidarray â Niveaux dâĂ©tiage Vigicrue 0,58 m Ă OSSES â temps doux, vent Sud, ciel nuageux avec quelques Ă©claircies. Eau lĂ©gĂšrement piquĂ©e coup dâeau 2 jours avant. pĂȘche entre 13h30 et 18h. Quelques insectes en Ă©mergence Ă©phĂ©mĂšres olives, march brown en fin de partie, mais rien de bien continu et volumique. Jâarrive sans pression ⊠une bredouille, me semble en effet bien probable 4 derniĂšres parties de pĂȘche bredouille la probabilitĂ© dâune improbable 5Ăšme bredouille consĂ©cutive est-elle la mĂȘme que si câĂ©tait la 1Ăšre dâune sĂ©rie ? -que les purs matheux me rĂ©pondent ciel trop lumineux la truite est lucifuge, et jâai connement choisi un secteur trĂšs ouvert Ă©tiage persistant, il manque cruellement un coup dâeau pour redistribuer les cartes, surtout en pĂ©riode dâaffluence dâouverture sur place, le peu dâinsectes me conforte sur la probable petite partie qui mâattends lâAviron a perdu samedi aprĂšs-midi, Biarritz a gagnĂ© ⊠en jouant bien en plus đ Jean-Pierre đ mon fils ThĂ©o a perdu 45-0 avec Mouguerre contre Anglet bref, tous les indicateurs de bredouille sont au vert ou de rĂ©ussite au rouge, mais je prĂ©fĂšre Ă©viter car je dois conduire au retour âŠâŠ En arrivant, je dĂ©cide dâaller directement voir cette chĂšre gobineuse qui me nargue depuis si longtemps moi et dâautres je pense. Je rentre dans lâeau suffisament pour voir si elle est postĂ©e et activeâŠ. ⊠je fais doucement car elle est Ă lâaffut du moindre mouvement irrĂ©gulier ⊠Elle vit en fin de lisse, dans un coin trĂšs calme, avec un lĂ©ger courant rĂ©gulier, et une profondeur dâeau dâ 1m environ. Le moindre pas trop rapide, et une mini-vaguelette court lui indiquer que quelque chose sâapproche. Le moindre dĂ©sĂ©quilibre sur les galets qui ornent le fond et elle sâĂ©clipse jâai de lâeau plus haut que le bide, la moindre mouche passant de façon non naturelle draguage et elle interrompt son repas. Combien de fois lâai-je espionnĂ© gobinant des petites merdes ailĂ©es ? Bingo ! Elle est lĂ ! Pas de doute, câest bien elle au bon endroit, avec son comportement en mĂȘme temps trĂšs confiant gobages rĂ©guliers, toujours au mĂȘme endroit, dâun jour sur lâautre, et trĂšs discret dâoĂč sa confiance me direz-vous !. Le peu de profondeur me permet de lâattaquer comme il faut. Objectif, ĂȘtre plein travers pour avoir la possibilitĂ© de projeter ma pointe entre deux branches pendantes, 2 m en amont de lâemplacement prĂ©cis de la belle. Vu les olives qui dĂ©rivent, une mouche dâOrnans en CDC avec un corps jaune olive sur hameçon de 16 devrait faire lâaffaire. Je tente avec une pointe en fluorocarbone Orvis Mirage 6X soit du 12,7/100e, ce qui est quand mĂȘme un peu costaud, potentiellement rĂ©dhibitoire plus tard dans la saison, mais permet dâabrĂ©ger les combats. Premier posĂ© ⊠dans une branche ! ⊠ne pas sâaffoler, laisser le courant emporter la soie, la tendre, tirer la mouche qui au final bascule trĂšs souvent sans sâaccrocher Ă la branche. Coup de chance, câest bien ce qui se passe. La mouche tombe sur lâeau, prĂȘte Ă ĂȘtre relancĂ©e. Deux faux lancers et la pointe passe entre les branches. La mouche tombe dans la bonne veine, 1 mĂštre en amont de la truite. Le posĂ© est flasque, donc la dĂ©rive est bonne. Ce mĂštre dure une Ă©ternitĂ© ⊠⊠GOBAGE !! ⊠curieusement elle me gratifie dâun gobage beaucoup plus bruyant que les gobinages prĂ©cĂ©dents. Peu habituel chez moi, jâhonore son gobage dâun ferrage mesurĂ©, dans le bon tempo, en laissant le temps au poisson de basculer vers le bas. Pendue ! Un bon gros combat de talonneur, tout en puissance, avec peu de manifestations Ă la surface, mais lourd, tenace. Jâai mĂȘme lâimpression quâelle ne rĂ©alise pas ce qui lui arrive car elle ne fuit pas, tire peu de soie, mais reste sur son pĂ©rimĂštre en faisant des tours, des coups de tĂȘte, mais sans sâĂ©loigner. Elle se rendra rapidement. âIlâ devrais-je dire câest un mle, reconnaissable Ă une machoire tendance masculine. Un beau mle de 48 cm prĂ©cision 48 cm, câest sa longueur hors tout, aucune connotation phallique dans mon propos. Un vieux de la vieille, un vĂ©tĂ©ran. Je pense lâavoir dĂ©jĂ piquĂ© lâan dernier, dĂ©jĂ sur le mĂȘme poste. un poisson magnifique vous lâavouerez ⊠Il repartira guilleret aprĂšs photo et prise de vue. Je le repĂȘcherai un jour probablement dans le mĂȘme secteur. image de moindre qualitĂ© extraite de la vidĂ©o ci-bas
LA MOUCHE DE LâOLIVE RAVAGE NOS OLIVIERS La mouche de lâolive est un destructeur dâolivier, responsables de dĂ©gĂąts substantiels dans le bassin mĂ©diterranĂ©en et les zones oĂč le climat est favorable Ă son implantation. Cette mouche parasite uniquement les oliviers. Elle incise la peau de lâolive et y introduit son Ćuf. Cette espĂšce nuisible est incontrĂŽlable sans mouche de lâolivier ressemble trait pour trait Ă une petite mouche de 5 mm de long. Elle possĂšde des ailes relativement transparentes avec un lĂ©ger point noir Ă son extrĂ©mitĂ©. On peut Ă©galement lâidentifier Ă son corps marron clair rayĂ© de deux bandes noires sur lâabdomen. Le piĂšge Ă mouche de lâolive Easy Trap permettra de gagner un temps considĂ©rable et de capturer ces nuisibles tout en gardant votre appĂąt la capture, il faut sâavoir que la mouche de lâolive est sensible Ă la couleur jaune sensibilitĂ© chromatique, il sera donc prĂ©fĂ©rable de choisir un piĂšge de couleur jaune afin dâoptimiser les captures. LâAPPĂT Ă MOUCHE DE L'OLIVE SERA COMPOSĂ DE 1 litre dâeau40 gr de phosphate diammonique en poudreLa mouche de lâolive est attirĂ©e par les substances sucrĂ©es comme les nectars qui lui apportent des calories. Les substances azotĂ©es quâelle trouve dans les matiĂšres en dĂ©composition comme le fumier, dĂ©jections dâoiseaux sera possible, pour que lâappĂąt Ă mouche de lâolive soit optimal, dây ajouter un colorant alimentaire jaune, ainsi quâune cuillĂšre de miel et de le piĂšge Ă mouche de lâolive dans lâarbre, orientation sud-ouest ou vers la mer Ă lâombre dâune branche ou dâun cotĂ© abritĂ© de lâarbre Ă changer le piĂšge de place ou dâen ajouter dâautres, notamment fin aoĂ»t en prĂ©vision des attaques massives du mois de septembre. Pour y voir un peu plus clair, une mouche de lâolive donne naissance Ă un rejeton, prĂȘt Ă se reproduire, au bout de vingt et un jours. Uniquement lorsque les conditions ont Ă©tĂ© optimales pour elle, câest Ă dire sous une tempĂ©rature moyenne de 25 degrĂ©s Celsius. COMMENT SE DĂVELOPPE LA MOUCHE DE L'OLIVIER ? Voici quels sont les paramĂštres favorables au dĂ©veloppement de la mouche de lâolivier Les zones chaudes un micro-climat est plus favorable au dĂ©veloppement de la mouche, car il y a moins de mortalitĂ© hivernale et une activitĂ© plus importante des insectes en Ă©tĂ©. Il sâagit principalement du littoral et de quelques bassins particuliĂšrement climat tempĂ©rĂ© un automne doux, un Ă©tĂ© sans canicule, un printemps un peu trop prĂ©coce ou un hiver avec des tempĂ©ratures douces sont les principaux facteurs dâinvasion par les mouches fruitiĂšres. De plus, si lâhumiditĂ© est Ă©levĂ©e, les conditions deviennent idĂ©ales ! Au contraire, aprĂšs un hiver trĂšs froid ou un Ă©tĂ© trĂšs chaud et trĂšs sec, la population de mouche ne se dĂ©veloppe quasiment variĂ©tĂ©s des oliviers gĂ©nĂ©ralement, les variĂ©tĂ©s prĂ©coces sont plus touchĂ©es que les variĂ©tĂ©s Ă petites olives et sont particuliĂšrement attractives pour la mouche de lâolive. Malheureusement, aucune variĂ©tĂ© nâĂ©chappe Ă cette mouche vorace, surtout si sa population est importante due Ă un climat apporter rĂ©guliĂšrement de lâeau aux oliviers permet certes dâobtenir des fruits plus volumineux, mais ils sont Ă©galement plus attractifs pour la mouche. Lâeau est indispensable dans lâenvironnement de la mouche de lâolivier et lâirrigation favorise sa survie dans le taille de lâarbre elle joue certainement rĂŽle positif dans le rendement de la rĂ©colte, mais elle peut en fait ĂȘtre trĂšs nĂ©gative. En effet, en rĂ©duisant la charge elle favorise une augmentation du calibre des olives. Qui dit olives plus grosses, dit olives attaquĂ©es en prioritĂ© par la mouche. LES MĂTHODES DE LUTTES CONTRE LA MOUCHE FRUITĂRES Afin de rendre la lutte contre la mouche de lâolive efficace, il faudra lâentreprendre au bon moment, afin de ne pas laisser la premiĂšre gĂ©nĂ©ration se dĂ©velopper. En gĂ©nĂ©ral, il faudra sâen prĂ©occuper dĂšs le mois de mai pour les oliveraies de basse altitude et juillet ou aoĂ»t pour celles situĂ©es Ă plus haute altitude. La dĂ©tection des vols de mouche se fait Ă lâaide de piĂšge Ă phĂ©romone. En utilisant le bon appĂąt Ă mouche de lâolive les captures se feront plus est Ă©galement important dâeffectuer une surveillance de son verger, en accrochant dans quelques arbres et sur une branche exposĂ©e au sud sud-ouest, un piĂšge Ă mouche de lâolive rempli de phosphate dâammoniaque diluĂ© dans de lâeau. Les attaques de la mouche sont trĂšs variables suivant les annĂ©es, cela vient du fait quâelle est trĂšs sensible Ă la tempĂ©rature. Par exemple, elle ne supporte pas les tempĂ©ratures supĂ©rieures Ă 42 degrĂ©s part, la mouche de lâolive survit lâhiver sous forme de cocon, enterrĂ©e Ă 5 ou 10 cm sous la surface de la terre. Une terre gelĂ©e en profondeur lui sera ainsi fatale.
Introduction Lâolivier fait partie des OlĂ©acĂ©es, comme le frĂȘne et le lilas. Son nom latin est Olea europaea qui dĂ©signe lâolivier sauvage ou olĂ©astre et lâolivier cultivĂ© Olea europaea saliva. Lâaspect gĂ©nĂ©ral est celui dâun arbre toujours vert au tronc bas et noueux. Lâolivier est un arbre Ă croissance lente qui sâĂ©toffe pendant les 7 premiĂšres annĂ©es. Puis de 7 Ă 35 ans, il devient productif. Entre 35 et 150 ans, câest la pĂ©riode de pleine maturitĂ© avec une production maximale. Au-delĂ de 150 ans, son rendement diminue. Lâolivier supporte des sols pauvres et une relative ariditĂ©, mais dans ce cas la production est faible. Il se multiplie trĂšs facilement soit par des boutures de rameaux, soit par des excroissances, appelĂ©es souchets, qui apparaissent Ă la base du tronc. AprĂšs le repos hivernal, de novembre Ă fĂ©vrier, le rĂ©veil se manifeste en mars -avril par lâapparition des nouvelles pousses terminales et lâĂ©closion des bourgeons. La floraison a lieu en mai -juin. Le noyau du fruit durcit en juillet aoĂ»t et atteint sa taille normale en octobre. La maturation est alors plus ou moins rapide selon la variĂ©tĂ© Sommaire Introduction I-Tableau rĂ©capitulatif des insectes ravageurs de lâolivier II-Description des insectes ravageurs La morphologie Biologie Cycle de vie DĂ©gĂąts La lutte II-2. ZEUZERE DE POIRIER Description Cycle de vie DĂ©gĂąts Moyens de lutte mouche dâolive la systĂ©matique La morphologie Biologie Cycle de vie DĂ©gĂąts Moyens de lutte cochenille noire de lâolivier La systĂ©matique La morphologie Biologie Cycle de vie DĂ©gĂąts CONCLUSION RĂ©fĂ©rences bibliographiques I-Tableau rĂ©capitulatif des insectes ravageurs de lâolivier II-Description des insectes ravageurs La psylle de lâolivier1 1-la systĂ©matique 2. La morphologie Adulte Psylle assez petit, long dâenviron 2,5 mm, bossu, la tĂȘte penchĂ©e en avant, et dâaspect robuste, avec les ailes repliĂ©es en toit sur le dos. Larve elle subit 4 mues larvaires, puis la mue imaginale. Sa longueur Ă©volue de 0,4 Ă 1,5 mm. Elle est couverte dâabondantes sĂ©crĂ©tions cireuses filamenteuses. Les 2 derniers stades prĂ©sentent des Ă©bauches alaires 3. Biologie LâespĂšce est strictement infĂ©odĂ©e Ă lâOlivier. Lâadulte hiverne dans les fentes et les anfractuositĂ©s du tronc de lâarbre et reprend son activitĂ© au printemps. La femelle pond plus dâ1millier dâĆufs. -Ćuf il Ă©clot au bout de 8Ă 12jours. Les larves se nourrissent en prĂ© levant la sĂšve; elles sĂ©crĂštent un miellat, sur lequel peut se dĂ©velopper la fumagine. LâĂ©tat larvaire dure 24 Ă 35 jours. 4. Cycle de vie -Dans la plupart des cas, E. olivina Ă 2 gĂ©nĂ©rations printaniĂšres et 1 automnale. Une 4Ă©me gĂ©nĂ©ration, facultative, peut se dĂ©velopper en fin dâannĂ©e. -Une 1Ăšre gĂ©nĂ©ration se dĂ©veloppe en mars avril ; elle engendre une seconde, en mi-juin, laquelle se porte sur les inflorescences et les boutons floraux. Les individus de cette 2Ă©me gĂ©nĂ©ration fait un repos estival quand la tempĂ©rature dĂ©passe 27° reprend dĂ©but septembre, lorsque les jours rafraĂźchissent Les adultes pondent, donnant naissance Ă la 3Ă©me gĂ©nĂ©ration. Ce sont les adultes de cette gĂ©nĂ©ration dâautomne qui hiverneront et donne la naissance de 4Ă©me gĂ©nĂ©ration. 5. DĂ©gĂąts Les individus de la 2Ă©me gĂ©nĂ©ration installĂ©s sur les hampes florales se montrent les plus nuisibles, car ils prĂ©lĂšvent la sĂšve nĂ©cessaire au dĂ©veloppement des fruits. Les colonies larvaires dĂ©passant 7 Ă 8 individus par hampe sont dangereuses ; au seuil de 20 larves par hampe, la rĂ©colte est diminuĂ©e de 50 Ă 60%.Les filaments cireux donnent Ă lâarbre attaquĂ© un aspect caractĂ©ristique. 6. La lutte Aucune lutte chimique nâest nĂ©cessaire contre le psylle. Les auxiliaires sont trĂšs efficaces et limitent les populations jusquâĂ rendre insignifiants les dĂ©gĂąts et la prĂ©sence du psylle. On a lâexemple de lâanthocoris qui vente chez certains distributeurs de produits phytosanitaires et certaines jardineries. II-2. ZEUZERE DE POIRIER 1-la systĂ©matique 2. Description Zeuzera pyrina est un lĂ©pidoptĂšre de la famille des Cossidae qui comprend dâautres xylophages comme le bien nommĂ© GĂąte-bois. Lâenvergure de lâadulte peut atteindre 6centimĂštres chez la femelle, 4 centimĂštres chez le mĂąle. Son allure est peu ordinaire le thorax est couvert de longs poils blancs avec trois taches bleu gris de chaque cĂŽtĂ©. De nombreuses taches de la mĂȘme couleur parsĂšment les fines ailes blanches, presque transparentes, qui recouvrent lâabdomen gris lorsque le papillon est au repos. Ce joli papillon a malheureusement une progĂ©niture aussi nombreuse que redoutable des larves mangeuses de bois de 5 Ă 6 centimĂštres, jaune vif, avec de nombreux points noirs sur chaque segment et une tĂȘte noire. 3. Biologie Cet Ă©lĂ©gant papillon nocturne aux ailes blanches parsemĂ©es de petites taches gris bleu mĂ©tallique est un des ravageurs les plus redoutĂ©s des vergers et des parcs urbains dans les rĂ©gions mĂ©ridionales. On le trouve Ă©galement plus au nord, mais son cycle de dĂ©veloppement est alors de deux ans au lieu dâun, ce qui rĂ©duit les infestations. Il peut sâattaquer Ă un grand nombre dâarbres et arbustes fruitiers ou dâornement, notamment pommier, poirier, prunier, cerisier, olivier, cognassier, cassissier, groseillier, agrumes, vigne⊠Câest un xylophage, mangeur de bois, et de la pire espĂšce puisquâil sâattaque au bois vivant. La chenille creuse une galerie dans le centre des branches qui se flĂ©trissent. Une seule chenille suffit pour tuer un trĂšs jeune arbre et ceux de trois ans peuvent perdre une partie de leur charpente. Les arbres vigoureux se dĂ©fendent mieux, mais ces attaques les fragilisent sâils sont ĂągĂ©s, surtout en cas de sĂ©cheresse 4. Cycle de vie Les papillons adultes sortent de juin Ă aoĂ»t, mais leur durĂ©e de vie est trĂšs courte 8 Ă 10 jours. La femelle peut en effet pondre plus de 1 000 Ćufs quâelle dĂ©pose en groupes sur les arbres, dans des crevasses ou dâanciennes galeries, parfois aussi dans le sol. Les Ćufs ne dĂ©passent pas 1 millimĂštre et leur incubation dure de 7 Ă plus de 20 jours. Ă lâĂ©closion, les chenilles restent dâabord groupĂ©es dans un cocon soyeux avant de se disperser et de grimper Ă lâextrĂ©mitĂ© des branches. Puis elles pĂ©nĂštrent plus bas dans les rameaux en creusant des galeries ascendantes, parfois en se suspendant Ă un fil de soie. AprĂšs plusieurs migrations de ce type, elles peuvent sâattaquer aux branches charpentiĂšres et au tronc. Elles signent leur prĂ©sence par de petits agglomĂ©rats de sciure et dâexcrĂ©ments de couleur jaune Ă lâentrĂ©e des orifices de pĂ©nĂ©tration. 5. DĂ©gĂąts Il peut sâattaquer Ă un grand nombre dâarbres et arbustes fruitiers ou dâornement, notamment pommier, poirier, prunier, cerisier, olivier, cognassier, cassissier, groseillier, agrumes, vigne⊠Câest un xylophage, mangeur de bois, et de la pire espĂšce puisquâil sâattaque au bois vivant. La chenille creuse une galerie dans le centre des branches qui se flĂ©trissent. Une seule chenille suffit pour tuer un trĂšs jeune arbre et ceux de trois ans peuvent perdre une partie de leur charpente. Les arbres vigoureux se dĂ©fendent mieux, mais ces attaques les fragilisent sâils sont ĂągĂ©s, surtout en cas de sĂ©cheresse. 6. Moyens de lutte Les techniques de confusion sexuelle, qui visent Ă empĂȘcher lâaccouplement des adultes Il sâagit de suspendre Ă la frondaison des arbres des petits diffuseurs de phĂ©romones en nombre suffisant pour brouiller totalement les messages olfactifs du papillon. Il faut respecter une certaine densitĂ© et en installer Ă©galement sur les haies environnantes. LâopĂ©ration est coĂ»teuse et rĂ©servĂ©e aux grands vergers. mouche dâolive 1. La systĂ©matique 2. La morphologie A lâĂ©tat adulte, les mouches mesurent 4 Ă 5 mm de long. Lâabdomen est de couleur orangĂ© avec deux striures noires. Les ailes sont transparentes, sauf une tache noire Ă chaque extrĂ©mitĂ©. La femelle se distingue du mĂąle par son abdomen muni dâun ovipositeur. Elle perce la peau des olives pour dĂ©poser son Ćuf lorsque lâolive mesure 9 mm. Le trou est invisible Ă lâĆil nu mais la mouche marque lâolive oĂč elle ne pond quâun Ćuf. Elle peut ainsi piquer jusquâĂ 400 olives. Plusieurs femelles peuvent piquer la mĂȘme olive en cas de pullulation de lâinsecte. 3. Biologie Un adulte peut vivre jusquâĂ 6 mois, se nourrissant de jus sucrĂ©s, de nectars, de rosĂ©e, de miellats de cochenilles ou de jus de dĂ©composition de fruits et de fumiers. Lâadulte est inhibĂ© par les tempĂ©ratures trop basses moins de 25°C. Sous toutes ses formes Ćuf, asticot ou imago la mouche est tuĂ©e Ă 0°C ou par les fortes chaleurs supĂ©rieures Ă 42°C. Lâadulte a besoin dâombre pour sâabriter. JusquâĂ 5 gĂ©nĂ©rations peuvent se succĂ©der entre juin et octobre. 4. Cycle de vie Ă tempĂ©rature moyenne de 25°, la larve Ă©clot au bout de 2 jours. Cette larve est blanche dans les olives jeunes vertes et acquiert une teinte vineuse dans les olives mĂ»res noires. Elle creuse une galerie dans la pulpe de lâolive en restant Ă lâintĂ©rieur. Lâolive attaquĂ©e vire au noir et peut tomber au sol. Au bout de 9 jours, la larve se nymphose en une pupe. Au bout de 10 jours dâimmobilitĂ©, la mouche adulte sâextirpe de la coque de la pupe, fore lâĂ©piderme de lâolive avec un trou de 1 mm de diamĂštre, sort de lâolive, se sĂšche et sâenvole. Le cycle aura durĂ© 21 jours depuis la ponte. En automne, quand les tempĂ©ratures commencent Ă baisser, les olives piquĂ©es tombent. Les asticots sâenterrent Ă 10-15 cm dans le sol oĂč ils se transforment en pupes. Ils passent lâhiver jusquâĂ ce que la montĂ©e de tempĂ©rature provoque le rĂ©veil et la sortie des mouches du sol, quand celui-ci atteint 25°C mi-juin. 5. DĂ©gĂąts Elle dĂ©pose ses Ćufs dans les fissures des Ă©corces ou Ă la base des bourgeons. Elle pĂ©nĂštre dans les branches et le tronc par lâintermĂ©diaire du pĂ©tiole des feuilles, en formant des galeries repĂ©rables par les sciures au niveau des orifices ouverts dans le bois
peut on manger les olives piquées par la mouche